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<poem style="margin-left:8em; font-size:100%"> Que failli ma desirance, De plaisance Mon cueur et moy sommes vuys, A l’autre huis.

RONDEAU. Clermontois. Qui veult achatter de mon dueil ? D’en avoir trop, las! je me vante, Car mapovre vie dolente N en peut plus , non fait pas mon vueil . Partout oit je voys, mon recueil Est si piteux, et mon attente ! Qiii veult achatter de mon dueil? D’en avoir trop, las! je me vante. Que j’aye ung petit bon accueil, Au commancement de ma vante, Et puis après, se jamais liante Amours, qu’on me crevé cest iieil ! Qui veult achatter de mon dueilf

RONDEAU CXV. Vendez autre part vostre dueil, Quant est à moy, je n’en ay cure; A grant marché, oultre mesure. J’en ay assez contre mon vueil. Jà n’entrera dedans le sucil