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qu’à leur docilité à se prêter et à se soumettre aux exigences érotiques et sadiques des passionnés de tous genres, je ne dis pas de tous rangs, car, dans le peuple et même chez les bourgeois, il se rencontre peu d’aberration génésique ; il semblerait que c’est l’apanage des classes élevées et instruites.

Si on publiait le livre d’or des érotomanes, depuis le marquis de Sade, jusqu’au comte de Germiny, on y trouverait une grande partie des noms qui figurent dans l’Armorial de France.

Donc : Chacun prend son plaisir où il le trouve.