mal, et cela alloit à si peu de chose, qu’il ne daignoit mettre en ligne de compte ce qu’il gagnoit de ce côté-là.
Aprés avoir fait pendant quelque temps le métier de courier, et y avoir amassé beaucoup de bien, il revint chez son pere, où il n’est pas possible d’imaginer la joye qu’on eut de le revoir. Il mit toute sa famille à son aise. Il achepta des offices de nouvelle création pour son pere et pour ses freres, et par là il les établit tous, et fit parfaitement bien sa cour en même temps.
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