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étendent & les aggrandissent peu à peu en tout sens.
Qu’à cette extension succède bientôt l’endurcissement de ces fibres par l’interposition de la substance terreuse qui les pénètre & les incruste.
J’acheverai de développer mes idées sur l’accroîssement, en joignant ici au précis des découvertes de Mr Herissant, quelques remarques qu’elles m’ont donné lieu de faire, & dont je lui ai fait part dans une de mes lettres.[1]
Il est à présent plus que probable, que l’accroîssement des corps organisés se fait par une sorte d’incrustation. Le tissu parenchymateux est ce fond primordial, que je supposois constamment dans mes méditations, & même dans mes premières méditations.[2] On peut le voir dans les chapitres II & VI du