si variés, si harmoniques entr’eux, qui conspirans tous au vœu principal de la nature, réparent ses pertes, renouvellent ses plus chères productions, & la rajeunissent sans cesse.
Si le développement des corps organisés ou leur simple accroîssement ne peut qu’être l’effet de la plus belle méchanique ; combien cette méchanique doit-elle être plus belle encore, lors qu’elle n’est point bornée à procurer simplement l’extension graduelle des parties en tout sens, & qu’elle s’élève jusqu’à procurer la régénération complette d’un membre, ou d’un organe, & même l’entière réïntégration de l’animal !
Ici, s’offrent de nouveau à mes regards ces fameux zoophytes, qui m’ont tant occupé dans mes deux derniers ouvrages,[1] & sur lesquels encore j’ai jetté un coup d’œil dans celui-ci.[2] Je ne retracerai donc pas ici les divers phénomènes