sur tout aux objets de la volupté,[1] plus impulsifs & plus sollicitans encore chez la plûpart des hommes ; & vous expliquerès psychologiquement les principaux phénoménes de l’humanité.
C’est sur ces principes si simples, si féconds, si lumineux que j’essayerois d’élever l’importante théorie de l’association des idées. J’en ai jetté les fondemens dans les chapitres XXV & XXVI de mon essai analytique sur l’ame, auxquels je renvoye.[2] D’autres méditations, & les ménagemens que ma santé éxige, ne me permettent pas de me livrer actuellement à ce travail intéressant, qui fourniroit seul à un traité de morale en forme, & que j’ai souvent songé à composer.
C’étoit un semblable traité que j’avois dans l’esprit, lorsque je composois, il y a neuf ans le §. 821 de mon essai analytique, & que je