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— Je vous demande bien pardon, monsieur, de me présenter chez vous à cette heure de la nuit. D’ailleurs, je reviendrai vous voir pour mieux m’en excuser et pour que vous ne me connaissiez pas sous ce mauvais jour.

Et voici qu’Adèle se trouva mal et que son beau coup la secoua et la fit pleurer.

Berthe lui avait dit : « Je connais un bon jeune homme qui s’appelle comme ceci… » Et elle avait tout raconté à l’autre !

Bubu lui prit la main :

— Tu es fatiguée, mon petit ?

Pierre avait de la fleur d’oranger, et comme Bubu allait en verser dans un verre, il se ravisa :

— Il faut que je lave ce verre. On doit prendre des précautions avec madame. Madame a la vérole, madame a des plaques dans la bouche…

Berthe s’habillait, ses vêtements glis-