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suis occupé qu’à contenir ce quelque chose, qui fait toute ma joie lorsqu’il peut vous être agréable. Dans ce moment où je m’entretiens de vous, il me sert de pupître, et mes tablettes, agitées par sa vacillation redoublée, ne me laissent point la faculté de peindre, en beaux caractères, les sentimens dont je suis animé. Pardonnez à mon gribouillage, et grondez bien fort ce soir celui qui en est la cause....

Votre docile esclave.

Autre billet au même.

Ton gribouillage, cher esclave, me plaît, et je n’ai rien lu qui me fit tant de plaisir : l’a-