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qui se rassembloit dans les tripôts meurtriers de la Cour, contraignit ceux qu’il soupçonnoit d’un parti contraire à ses intérêts à ployer le genou avec respect devant la statue d’Henri IV, dont la vue arrachoit des larmes et excitoit des regrets amers lorsqu’on pensoit à la différence de ces deux règnes. C’est ce qui arriva au marquis de Vilette, à ce patron déclaré des apôtres de Sodôme, à cet avorton littéraire, à ce précurseur de Chaussonée ; il fut, comme les autres, contraint de se soumettre à la genuflexion, et un passant prenant part à l’ignominie qu’il éprouvoit de fort