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Taisez-vous, vils crapauds du pied de
l’hélicon,
J’aurois pris Gibraltar, s’il n’eût été
qu’un C....


 Néanmoins les courses nocturnes et scandaleuses de Marie-Antoinette ne discontinuèrent pas plus que les couplets orduriers sur ses excès libertins et ses paillardises ; témoins ceux-ci, qui lui furent chantés aux oreilles :


Les promenades nocturnes de la
Messaline françoise en 1783.

Air : Charmante boulangère.

Quelle est cette coquine,
Qui marche à petit bruit ?

IIe. Partie.
D