Page:Charles-Joseph Mayer, Vie de Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France, femme de Louis XVI, 1793.djvu/209

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 19 )

voite de nouveaux plaisirs. Cependant dans ces momens, mon état devroit naturellement être semblable au tien. Loin de ça, je brûle de consommer le plaisir que tu n’as fait qu’ébaucher. Alors je vole auprès de ma chere Dorvat : d’instrumentée que j’étois, j’instrumente à mon tour. Enfin je fais agir la complaisante Dorvat, qui, réitérant le plus agréable des exercices, multiplie mes jouissances à l’infini. Cesse donc d’être étonné, si je te substitue cette charmante acolyte, et ne n’en veux pas ; aussi bien, je ne puis m’en passer. »