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dinairement employés, par la sensuelle compagnie de Louis, aux actes révoltans des lubricités, qu’elle prenoit plaisir à goûter avec son sexe.

Une des femmes de la Reine, la demoiselle Dorvat, étoit parvenue à gagner sa confiance ; son intéressante phisionomie avoit attiré ses regards et excité ses desirs ; et quand une fois ses desirs avoient fermenté dans son sein, rien ne pouvoit l’empêcher de les satisfaire.

Pour se dérober aux regards intéressés à épier ses aventures amoureuses, notre héroïne prétextoit souvent des indispositions.