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valier sans peur et sans reproche, possédoit au suprême degré tous les moyens que donnent les vices qui naissent de l’hypocrisie ; tantôt il faisoit agir madame de Flamarin auprès du vieux comte, et tantôt le patron de Senlis, qu’il faisoit mouvoir par son cagotisme. Il employoit ainsi tout-à-la-fois le sacré et le profane ; rien ne lui coûtoit, tout lui étoit égal, pourvu que le succès couronna ses démarches.

À propos du patron de Senlis, alors l’épouventail de M. d’Autun, et galantin par excellence, mais qui se gênoit encore un peu en attendant la mort de

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