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elle est alliée, elle n’épargnoit aucun moyen pour aider aux vues de son mari qu’elle connoissoit bien, qu’elle apprécioit bien, et dont elle ne rafolloit que quand elle étoit loin de lui.

Un comte de Polignac, aussi sot que celui que la feue duchesse d’Orléans, avoit mis ainsi dans sa chanson d’adieu, qu’elle appelloit son testament de mort.


Polignac, mon très-sot amant
Me voit mourir indécemment ;
C’est une grosse bête,
Eh bien !
Bon pour le tête-à-tête…
Vous m’entendez bien.


Un prince d’Henin, le plus