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Tout commentaire nous paraît inutile. Aussi, nous bornerons-nous, en terminant, à remercier Mme Charcot d’avoir bien voulu autoriser la réimpression, pour la Bibliothèque diabolique, de l’un des derniers travaux de notre illustre Maître, où se retrouve à un haut degré l’empreinte de son génie scientifique.


Bourneville.