Page:Charbonneau - Fontile, 1945.djvu/142

Cette page a été validée par deux contributeurs.

vait remplacer une amitié. Je constatai que Bonneville ne me recherchait aucunement et que c’était moi qui accourais tous les jours à son bureau. Je restai quelque temps sans revenir, espérant une invitation ou une demande d’explication qui ne vint pas. Ce que j’ignorais c’est qu’Armande l’avait congédié sous un prétexte absurde et qu’il m’imputait sa disgrâce.