pour arriver à un résultat, n’offrent aucune chance ni à la ruse ni à l’erreur.
Il m’a paru constamment que le seul moyen de traiter avec l’ouvrier, de manière à concilier son intérêt et celui du fabricant, étoit de convenir avec lui d’un traitement fixe pour un temps déterminé : dans cette position, l’ouvrier se met à la disposition du chef de la fabrique, il se conforme sans répugnance à ses volontés ; et, s’il fait moins de travail, il le fait du moins toujours à propos.
La couleur bien unie qu’on obtient si rarement dans la teinture du coton en rouge dépend essentiellement du degré d’habileté avec laquelle l’ouvrier manipule les cotons : cet art des manipulations présente bien des difficultés, et il faut un assez long apprentissage pour former un bon ouvrier en ce genre.
Nous pouvons réduire à quatre opérations principales tout ce qui tient aux manipulations.