À un pied (0,325 mètre) au-dessus du massif de maçonnerie dans lequel sont engagées les jarres et les terrines, on fixe contre le mur, et parallèlement au sol, un liteau de bois, large de 6 pouces (0,162 mètre) et épais de 2 (0,054 mètre), on le fait régner sur tous les côtés où les jarres sont établies.
À 8 pouces (0,217 mètre), au-dessus du premier liteau, toujours parallèlement au sol de l’atelier, on place un second liteau ; et l’on assujétit, sur ces deux liteaux, au-dessus de chaque terrine, des morceaux de bois portant des chevilles, de la longueur de 6 pouces (0,162 mètre), polies avec soin sur tout le contour, pour qu’elles n’accrochent pas le coton, et assez fortes pour résister à l’effort que fait l’ouvrier lorsqu’il y tord son coton. On doit placer ces chevilles à une hauteur, qui soit telle que l’homme qui travaille puisse se courber sur la terrine, sans donner de la tête contre la cheville. Voyez fig. 3 et 4, pl. 1.