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Grâce à votre savoir, bien des intelligences
Ont pris l’essor de l’aigle et planent en plein ciel,
Bien des cœurs, qu’eût meurtris le doute universel,
Sont emportés aux bras des saintes espérances,
Vos travaux sont de ceux qui ne périssent pas ;
À pareille œuvre un lustre ineffable s’attache ;
Et l’Avenir, baisant la trace de vos pas,
Se souviendra toujours de votre nom sans tache.