Page:Chapman - Le Lauréat (critique des œuvres de M. Louis Fréchette), 1894.djvu/52

Cette page n’a pas encore été corrigée

VICTOR HUGO Là des saules pensifs qui pluircnt sur la rive. 1 FRECHETTE

Comme vous voyez, M. Fréchette a poussé la rapacité jusqu’à voler à Delpit ses doux tirets. Ça, c’est une lionte que rien n’cfface, bien sûr. Mais continuons à comparer : VICTOR HUGO Que les auges distraient se penchaient pour l’entendre. :i l.et fauvettes, pour nous voir, Sepenehaient dans ie feuillage. 4 FRECHETTE Les fauvettes, tout près, se penchaient pour entendre. Quand on songe que le lauréat a pris la peine de fouiller dans deux gros volumes pour trouver ee qu’il lui fallait, pour faire un seul vers ! VICTOR HUGO Car ces derniers soldats de la dernière guerre. 5 1. Les Feuilles F Automne, 2ième strophe de A Mlle B. 2. Le Général (Iront, 39ième vers, 3. La Légende des Siècles, i8ième vers du Sacr^ de.la Femme. 4. Les Contemplations, 3Îème strophe de la Coccinelle. 5. Expiation, çième vers du chant II.