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tout son être splendide ayant, de ses noirs cheveux moirés sur la nuque et retombant en queue de cheval aux pointes de ses cothurnes, l’intégrité des formes qui s’engendrent, dans une parfaite harmonie successive, les unes des autres ! Renversée dans les bras d’un gros monsieur, elle simulait la palpitante. Appuyée sur une jambe, tendant l’autre dans une pose très chic :

— Y a-t-il beaucoup de femmes dont la ligne soit si pure ? Et tout est pareil… (avec un geste de vice ingénu qui montrait le troublant bijou). Combien donnes-tu de mon fer à cheval ?