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des vagues ensorcelantes au tumulte éternel, des vagues bleues où serpente l’émeraude des varechs, le poète des faunes qui appellent dans les halliers, — conduisant la décadence du carnaval, la tête tournée à droite, le visage rêveur et paisible, chevelure frisée et comme poudrée, moustache féline, les yeux mélancoliques semblant fixer une folie imaginaire (qui, sur le rebord d’une loge d’avant-scène semblable à un cénotaphe, expirait sans