Page:Champsaur - Pierrot et sa Conscience.djvu/155

Cette page a été validée par deux contributeurs.

enivrantes brises ; d’autres faunes courront, chanteront, appelleront. Une valse susurrait, — mi, mi, do, do, mi, mi, — dans le petit local de joie si mélancolique maintenant, ses bercements langoureux.

Alors, doucement, la Conscience, doucement vint vers Pierrot, qui était triste, si triste, prêt à pleurer, et qui n’osait lever les yeux sur elle, que — sans pitié — il avait chassée pour plaire à cette femme, si vite disparue ; et, sœur consolatrice, elle lui dit