DE CUA.MFORT. Ô^J
Mais ne l'imitons pas dans ses divagations. Je ne me permettrai de citer contre lui que des faits appuyés de pièces justificatives.
Vous tous, vrais jacobins, qui , iaute de le con- naître, l'avez admis parmi vous, l'avez placé dans votre comité de correspondance, l'avez chargé d en faire les extraits et de les lire à votre tribune ; vous tous, hommes droits et purs, qui voulez que les dénonciations soient un moyen de châtiment ou de répression contre les aristocrates et les traîtres, mais qui ne voulez pas qu'elles soient , dans les mains des intrigans , une arme contre les républi- cains , venez à la bibhothèque nationale , vous y verrez les preuves de ce que j'avance.
Vous verrez ce prétendu républicain qui doinie le nom servile de patron à l'un de ses collègues, lequel lui avait rendu quelques services, par une surprise dont bientôt s'est repenti le, pu irai i trop facile.
Vous verrez le créateur de la formule . ait lui- nistre Piolaiid^ respect y voiis le verrez proléiijé par L(î Noir, dont il. vante la sensibilité d'âmes auquel il voue une reconnaissance éternelle.
Placé auprès de Joly, garde des estampes, Tobie- zen-Duby écrit à Le TS^oir : M. Joly est rhomme de la bibliothèque pour lequel j'ai le plus de respect, d'égards et <i'ei^tV/;2e; hommage rendu eu 1788, qui n'a pas empêché le même Tobiezen-Dubv de solhciter , en 1 792 , la place de ce même Joly , qui est, dit-il, au moment de la perdre par un juste châtiment de son aristocratie.
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