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l6o OEUVRES

« Dûl iiKi ruiiesie impalicnct; , Disuit-clle , aggraver uioii sort , Dieux qui m'enviez sa présence , Keudez-le moi vivant ou mort. Beau manoir , opulcns domaines , Présens que m'a tait son amour, Coteaux rians, fertiles plaines , Que j'aperrois de cette tour, Ne m'étalez point vos richesses S'il ne doit plus les partager ; De ses regards , de ses caresses , Pouvez-vous me dédommager? » La nuit allait couvrir la terre. Enveloppé d'un noir manteau , Un pèlerin , au front sévère , Aborde un page du château :

— « Page , va dire à ta maîtresse , Un pèlerin daignez ouir ;

De l'objet qui vous intéresse JI voudrait vous entretenir.

— lion pèlerin, à mon veuvage. Quelle allégeance apportez-vous?

— J'ai vu riduméen rivage, J'ai vu combattre votre époux.

— Ah ! rendez la paix à mon âme; Quand finiront tous ces combats?

— ■ Votre époux le sait , noble dame , iMieux que personne dici bas.

— Oh! combien de ilèche.s aiguës Ont dû l'atteindre et le blesser! — Les blessures qu'il a reçues, Jà n'est besoin de les panser.

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