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qu'Aristote appelé les parties d'extension eu de quantité, en supposent plusieurs autres qui font corps avec elles, et que le même poète nomme parties intégrantes. Il en trouve six, qui sont le sujet ou la fable, les mœurs, les sentimens , la diction ou le style, la musique et la décoration. La musique n'entre plus pour rien dans nos tra- gédies modernes , excepté nos tragédies lyriques ou opéras.
CHOEUR.
Le cliœur , d ns la tragédie ancienne , signifie un ou plusieurs acteurs, qui sont supposés spec- tateurs, mais qui témoignent de tenips en temps la part qu'ils prciuient à faction par des discours qui y sont liés , sans pointant en faire une partie essentielle.
Le chœur, chez les Grecs, était une des jiai'ties de quantité de la tragédie; il se paitag(^att en trois parties , qu'on appelait parodos , slixisiinoii et coiivnoi.
La tragédie n'était, dans son origine, qn'ini chœur qui chantait desditiiyrambes en i'homieur de Bacchus, sans autres acteurs qui déclamassent. Thespis, pour soulager le chœur , ajouta un ac- teur qui récitait les aventures de quelque liéros. A ce personnage unique , Eschyle en ajouta un gecond, et diminua' les chœurs pour donner plus d'étendue au dialogue. On nomma cpisode ce que
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