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V. i5. Ulysse eu fit autaat.
Ce trait ne pèche point contie la règle que nous venons d'étahlir , parce que le temps où Ulysse vivait est supposé compris dans l'é- poque que nous avons indiquée ; d'ailleurs , ce rapproclienicrnt des voyages d'Ulysse avec celui de la tortue est si plaisant , que le lec- "teur s'y rendiait bien moins difficile.
V. lô. . . . On ne s'attendait guère. . .'.
\i)ilà un de ces traits qui caractérisent un poète supérieur à son sujet ; nul n'a su s'en jouer à propos connue La Fontaine.
FABLE IV.
V. 1. Il n'était point d'étang, etc. ...
Nous ne trouverons plus dans ce dixième livre , de fable qui puisse être comparée aux deux précédentes. Celle-ci n'en approche , ni poiu- le fond , ni pour la forme. Remarquons cependant le sérieux •plaisant de cette réflexion.
1 \. j. Tout cormoran se sert de pourvoyeur lui-même.
\ . 42. En ceux qui sont mangeurs de gens.
Il fallait s'arrêter là. La léflexion <pie La Fontaine ajoute à ce conseil de prudence, ne sert qu'à en détourner l'esprit de son lecteur. L'idée de la mort absorbe toute autre idée.
��V. 1. Un pinceaiaiile avait tant amassé.
Le résultatde cette fable est encore très peu de chose ; mais, dans l'éxecution, clic offre plusieurs vers très-bons. Je me contente de les indiquer à la marge.
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