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��FABLE XV.
V. 2. . . En de certains climats. En Italie, par exemple , où Ion marie la vigne à l'ormeau , au tilleul , etc.
\'.6. Broute sa bienfaitrice . . . Est une expression hardie , mais amenée si naturellement , qu'on ne songe point à cette liai> diesse.
rAiîi.j-. XV r.
\ . i3. .Ir ne crains que celle du temps.
Cette idée trés-pliilosophique, jetée dans le discours cpie La Fon- taine prête à la lime, fait beaucoup d'effet , parce qu'elle est entière- ment inattendue.
FAB1,K XVI t.
T. 3. Car qui peut s'assurer ù'èlrc toujours heureux ?
Cette raison de ne pas se moquer des misérahles , a l'air d'être peu noble et peu généreuse. En effet , ime àme honnête ne se moque- rait pas des niisi'rahlcs , quand r.iême elle serait assurée d'être toU' joius dans le bonheur. Mais La Fontaine se contente de nous ren- voyer an simple bon sens , et fonde sa morale sur la nature commune et sur la raison vulgaire. On a remarf|ué cpi'il n'était pas le poète de l'héroïsme , c'est assez pour lui ci'être celui de la nature et de la raison.
V. 1.) Sur leur odeur ajanl philosophé,
Conchil
Et Rustaul qui u"a jamais menti.
��La F'ontaine se sert exprès de ces expressions qui a]ipartiennent à l'^u-t de raisonner , que l'hoinuie dit être son seul partage, et que .Oescai tes refuse aux auimaux.
��rABi.r, XVI it.
��V. g. domine vous clés roi , vous ne considérez Qui ni quoi ;
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