OliLVULS
��F.VBI.E X.
��V. 1. l.e premier , etc. La précision qui règne dans ces quatre jncmiers vers, exprime à merveille la facilité aveclaqucUe l'homme /se familiarise avec les objets les plus nouveaux pour lui et les })lus effrayans. Au reste , ce n'est pas là un Apologue.
��FABLE XI.
��\ . - L'aveiit ni le carême , ii"a^ aient que faire là.
\, i!i. Elle allégua pourtant Its délices tlu bain.
La Fontaine n'évite rieu autant que d'être sec. A oilà pourqi'.oi 11 ajoute ces vers qui sont charmans , quoiqu'il put s'en dispenser après avoir dit : // nccail pas besoin de pins tonique harangue.
FABLE XII.
T. 2. Et la raison ne m'en est pas connue.
ÎVl à moi non j)his , attendu que cette fable n'est pas bonne. Alexandre qui demande un tribut aux quadrupèdes, aux vermis- seaux , ce lion porteur de cet argent , et qui veut le garder pour lui , tout cela pèche contre la sorte de vraisemblance qui convient à l'Apologue. Au reste , la moralité de cette mauvaise fable , si l'on ])eut l'appeler ainsi , retombe dans celle du loup et de l'agneau.
La raison du plus fort est toujours lu meilleure. ,
TAIiLE Mil.
V. 10. Or un cheval cul alors dilï'érenl. • •
Cette fable ancienne , l'une de c(>lles qui renferment le plus grand sens , était une leçon bien instructive poui' les républiques grecfjues.
Les trois derniers vers qui contiennent la moralité de la fable , n'en indiquent pas assez, ce me semble , toute la portée. C'est aussi le déf;Aut que l'on pe^ut reprocher au prologue.
FaIU.E XIV.
V» I, Les grands, etc. La Fontaine 61e le piquant, de ce mot <
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