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* M. de Silhouette, renvoyé, étoit accablé de sa disgrâce, et surtout des suites qu’elle pouvoit avoir. Ce qu’il redoutoit le plus, c’étoit les chansons. Un jour, après dîner (et il n’avoit rien dit à table), il s’approche tremblant d’une femme en qui il avoit confiance, et lui dit : « Parlez-moi vrai, n’y a-t-il pas de chansons ? »