Page:Chambrier - Au delà (Fischbacher 1886).djvu/118

Cette page a été validée par deux contributeurs.

C’est en vain qu’il voudrait s’élever dans l’espace,
Se perdre en cet azur dont il se voit banni ;
Il retombe brisé, l’aile meurtrie et lasse,
Les yeux mornes, encor tournés vers l’infini.


22 février 1881.