CONSEILS DU CHARIVARI À L’UNIVERSITÉ.
Au parloir asseoir les parents sur des trapèzes, afin de mettre les collégiens dans la nécessité de faire de la gymnastique s’ils veulent se rapprocher de leurs familles.
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— Excusez-moi, monsieur le proviseur, comme la gymnastique est obligatoire, j’ai pensé que la tunique et le pantalon le gêneraient peut-être.
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— Quéque vous avez à me renifler mes journaux ?
— Il me semble que pour un sou les nouvelles ne doivent pas être aussi fraîches !
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— C’est moi qui vais te le lâcher ! Un journal à un sou dans sa poche, grigou !
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