— Je suis bien heureuse : les professeurs de mon fils sont très-contents de lui, il entrera en cinquième l’an prochain.
— Le ferez-vous bifurquer ?
— (Avec effroi.) Moi, faire bifurquer mon fils… jamais !
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— Vous m’excuserez si je vous reçois au milieu de ce désordre… mais j’ai mes garçons qui sont revenus du collège et qui sont ici pour six semaines.
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— Dis donc, c’est étonnant, je ne peux pas prendre un seul poisson !
— Ça ne m’étonne pas, il a tellement plu cette année : ils sont probablement tous noyés !
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— Mon enfant, ne tirez pas la queue de ce pauvre chien : vous lui faites mal !
— Je ne croyais pas que ce fût à lui… je pensais qu’il portait peut-être une fausse natte comme maman !
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