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— Méchant polisson ! veux-tu bien ne pas faire enrager ta petite sœur ! — Maman, laisse-moi, je n’ai plus que jusqu’au premier lundi d’octobre. |
— Tu ne veux pas rentrer en classe ! tu ne veux donc rien savoir ? — Maman, je ne suis pas curieux. |
— Françoise, donne-nous pour dîner de la choucroute et beaucoup de gâteau de plomb, je t’en supplie… — Mais, mon enfant, ça vous fait mal : la dernière fois que vous en avez mangé, vous avez été quinze jours dans votre lit ! — Justement, imagine-toi que c’est lundi la rentrée des classes. |
— Est-il heureux, celui-là… il ne rentre pas au collège, lui !… Papa, j’ten prie, laisse-moi être domestique aussi ! |