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— C’est trop fort, madame ! faites taire mademoiselle votre fille ! elle joue maintenant du piano toute la journée et toute la nuit !

— Pauvre enfant ! elle jouit de son reste… on va mettre un impôt sur les pianos !

M. Listz tirant son grand sabre en apprenant le projet d’impôt sur les pianos.

— Pourquoi pleures tu, mon enfant ?.

— Hi ! hi ! on va mettre un impôt sur les pianos !… On va peut être me forcer comme pianiste de porter une muselière comme Zémire !

Conséquence de l’impôt sur les pianos.