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— Caporal, pourquoi êtes-vous dans cet état d’ivresse ? — Mon capitaine, c’est pas ma faute, je suis tombé dans une embuscade russe. |
— Mon pauvre ami, voici la guerre terminée ; enfoncée notre collaboration, à moins que nous ne nous mettions à collaborer pour une pièce à l’Odéon ! je ne vois plus que celle-là ! |
— Oui, madame Prudhomme, je dois cette marque d’estime à mes nouveaux amis les Moscovites. |
LE BOURGEOIS. — Brave militaire, êtes-vous content de recommencer la vie de garnison ? LE SOLDAT. — Ça me fait un drôle d’effet depuis que j’ai été au siége de Sébastopol ; chaque fois que je vois une ville j’ai envie de la démolir avec tout ce qu’il y a dedans. |