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— Plus qu’une minute… J’aperçois deux journalistes… — Non, venez. Cela vous fera trop de peine, ils se donnent la main, contrairement à ce que vous leur aviez enseigné. |
— Tu n’as demandé qu’un fusil à aiguille pour tes étrennes ? — Que t’es bête ! une fois qu’on a un fusil à aiguille, on prend tout ce dont on a envie. |
— Madame, pourrais-je me représenter ? — Mais certainement ! encore au 1er janvier 1868 ! |
— Tu n’es jamais contente ! Ton petit chien que tu cherchais partout, je le faisais arranger pour tes étrennes ! |