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1867. Êtes-vous prête à me recevoir ? Avons-nous enfin terminé cette toilette ? Vous savez, je vous amène du monde. |
— Mais c’est une horreur ! je ne suis pas plutôt arrivée, que voilà tous ces affreux chroniqueurs occupés à fouiller dans mes bagages. |
— Allons, voyons, c’est bien le moins que vous m’accompagniez jusqu’à la voiture, j’ai assez fait pour vous deux. |
— Si tout le monde était comme vous, ce ne serait pas la peine que je vienne ; vous n’avez pas la politesse d’attendre que je vous les apporte, vos étrennes. |