Pour terminer mes appréciations sur le mouvement des beaux-arts, il me reste à signaler l’essor de l’architecture, de la sculpture, et de la musique.
Les chapitres Paris à vol d’oiseau et Ceci tuera cela, dans le roman de Notre-Dame de Paris, émurent les imaginations et réagirent vigoureusement contre les exploits trop prolongés de la Bande noire, qui démolissait une foule de monuments historiques ; ils nous débarrassèrent des maladroits qui restauraient les plus belles églises ou les plus intéressants châteaux d’une manière déplorable.
On voyait détruire des chefs-d’œuvre de pierre ; on voyait massacrer, en les réparant, tous les spécimens divers d’architecture. Aucun respect pour les souvenirs, dont se moquait la spéculation ; aucune intelligence des styles, quand l’ar-