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de cette cure spirituelle, fit une quête en faveur de sa protégée. Il paya l’argent qu’elle devait à la Donard et la plaça dans un atelier de couture, œuvre pieuse, patronnée par les dames de la ville.

Lucie put enfin partir ; et il y eut en elle, avec la joie d’être libre, un regret de quitter ce lieu où elle avait été si heureuse, une vague terreur d’être inhabile à un travail longtemps délaissé.