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peintre a su, dans ses illustrations, marier comme elle le dix-huitième siècle de la Grèce au dix-huitième siècle de notre France[1].

R. B.
  1. Nous nous excusons de n’avoir pas donné ici le portrait de Madame Chénier. Ce portrait n’a pas été gravé, et n’existe pas non plus dans la collection des dessins au physionotrace. « Cazes a peint, » dit M. Gabriel de Chénier dans sa notice, « les portraits séparés de tous les membres de la famille, indépendamment d’un assez grand tableau où il a rassemblé M., Mme de Chénier et leurs cinq enfants. Ce tableau, destiné à une sœur de M. de Chénier qui habitait Carcassonne, y resta jusqu’en 1856. Il est maintenant entre les mains de l’auteur de cette notice. » Voulant garder toute la liberté de nos jugements, nous n’avons pas cru devoir recourir à l’obligeance de M. Gabriel de Chénier.