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levez-vous !… venez !… venez ! répétait le vieux cocher, très ému, en avançant doucement la main.

– Je suis bien ici !… sur la paille !… va ! va !… laisse-moi ! »

Et comme l’autre n’en faisait rien :

« Va !… je te dis, va-t’en ! »

Frédéric, une seconde encore, se tint coi, puis branla la tête et sortit de l’écurie.

Un instant, le bruit de ses sabots s’entêta tout auprès, un seau roula sur le pavé, et le silence tomba…