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premier qui ait entièrement recueilli de ses écrits le fruit qu’il en attendait ; car mon désir n’a pas été autre que de livrer à l’exécration des hommes les fausses et extravagantes histoires des livres de chevalerie, lesquelles, frappées à mort par celles de mon véritable Don Quichotte, ne vont plus qu’en trébuchant, et tomberont tout-à-fait sans aucun doute. ( — Vale. ) »