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et répéta à la duchesse ce que je lui avais dit à ce sujet. — Leurs Seigneuries se montrèrent alors si favorablement disposées à mon égard, que je priai le duc de me permettre d’aller jusqu’à Rome. Il y consentit gracieusement en m’enjoignant de revenir au plus vite pour terminer son Persée ; de plus, il me donna des lettres de recommandation pour Averardo Serristori, son ambassadeur. — Cela se passait dans les premières années du pontificat de Jules de’ Monti.