Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
coup effroyable suit. Biondetta, les yeux fermés, les doigts dans les oreilles, vient se précipiter dans mes bras : « Ah ! Alvare, je suis perdue !… »
Je veux la rassurer. « Mettez la main sur mon cœur, disait-elle. » Elle me la place sur sa gorge, et quoiqu’elle se trompât en me faisant appuyer sur un endroit où le battement ne devait pas être le plus