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l’issue des combats que j’éprouvais, je cours à ma gondole : une des femmes de Biondetta se trouve sur mon chemin. « Je vais à Venise, lui dis-je. J’y deviens nécessaire pour la suite du procès intenté à Olympia ; » et sur-le-champ je pars, en proie aux plus dévorantes inquiétudes, mécontent de Biondetta et plus encore de moi, voyant qu’il ne me restait à prendre que des partis lâches ou désespérés.