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LXVII. SCÈNES INTIMES 1855 SCÈNES INTIMES || par || Mesdames || Desbordes-Valmore || Caroline Olivier || et || l’auteur de deux nouvelles |||| EvelineDomenica-Nathaniel. || Le Moulin de la Poussière |||| Berne || .Ed. Mathey, Libraire-Editeur || (154, Grand’rue) || Paris || même maison, || rue de la Paix || (A la librairie Grassart) || Leipzig || Mathey et Georg, Libraire, 2 rue de la Poste |||| 1855 || L’éditeur se réserve le droit de traduction et de reproduction à l’étranger (La couverture ne porte pas cette dernière phrase) ||. Un vol. in-16, 1 f. pour le faux-titre (au vº : Bernetypographie R. F. Haller et Ed. Mathey), 1 f. pour le titre, 1 f. de table, 1 f. de faux-titre à la page 125 (Domenica || par || Madame Desbordes-Valmore). Le texte de Domenica commence à la page 125 : (“Je ne crois pas que Catherine soit mon premier amour, dit Régis après avoir un peu rêvé…“) et se termine à la page 202. Les couvertures de certains volumes portent simplement, comme mention d’éditeur, les mots : “Georg et Cie, Bâle, 1855, Domenica, la seule nouvelle de Marceline qui soit contenue dans les Scènes intimes, a été inspirée à son auteur par le voyage qu’elle fit en Italie en 1838. En voici l’analyse : Régis, un jeune allemand, raconte à son ami Karl l’histoire de son premier amour. C’était en Italie. Comme il était très G. Cavallucci — Bibliographie de Marceline Desbordes-Valmore 5