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INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE

'350 INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE Saint-Denis d’Anjou, 9 octobre. A son fils. J’ai peur d’abuser de la permission de l’écrire à force d’en user, mon cher fils… (aut. Douai). Saint-Denis d’Anjou, 17 octobre. A Prosper Valmore. Cher bien, cher à moi, hier soir nous sommes revenus de… (Saint-Denis d’Anjou), 19 octobre. A son fils. (aut. Douai). Oui, sans doute, j’ai reçu la traduction de l’espagnol. Ces charmantes… (aut. Douai ; Boy. II p. 261 ; R. II p. 216). (Saint-Denis d’Anjou), 20 octobre. Au docteur Veyne. Je ne peux me décider, cher et bon Docteur, à vous écrire d’où je suis… (aut. Douai ; R. II p. 216 ; cit. Bibl. I p. 380). Saint-Denis d’Anjou, 25 octobre. A Prosper Valmore. Je ne me rends pas compte que vous ayez pu vivre de ce peu qui te restait… (aut. Douai). Saint-Denis d’Anjou, 27 octobre. A Louise Babeuf. Ma chère et bonne Louise, je suis bien sûre que souvent notre souvenir… (M. p. 350). Saint-Denis d’Anjou, 29 octobre. A son fils. Tu vois que c’est à peine à toi que j’écris, mon cher bien ! A force d’être… (aut. Douai ; M. p. 288). Saint-Denis d’Anjou, (sans date). A son fils. Tu vois que ta charmante lettre vient d’entrer à propos pour que je puisse…. (aut. Douai ; Sainte-Beuve, 70).