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INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE Paris, 12 septembre. A Frédéric Lepeytre. 339 Je n’ai pas vu votre ami et c’est pour moi une contrariété sensible… Paris, 22 septembre. A Ta lettre m’a été bien si triste par la nouvelle de (M. p. 192 ; fragm. Bibl. I p. 367). son frère. nécessaire après l’avant-dernière ta maladie… 24 septembre. A Ondine. Je persiste… (aut. Douai ; fragm. R. II p. 201). (Coll. A. H. de Favreuil). 5 octobre. A Ondine. Je ne sais encore. (Coll. A. H. de Favreuil). 11 octobre. A Ondine. En voyant le temps si triste… (Coll. A. H. de Favreuil). 21 octobre. A son frère. Quoique faible encore, après beaucoup de fatigues de corps et d’âme, je reprends la force d’écrire… (Paris, octobre). A Pauline Duchambge. (aut. Douai). Dans l’impossibilité où je suis de m’expliquer à toi, je te tends les mains… (aut. Douai ; Boy. II p. 285 ; R. II 201). 2 novembre. A Caroline Branchu. Je t’embrasse, Caroline, et suis triste de ne pas saluer, sur tes joues, ton jour de naissance.. 7 novembre. A son frère. (aut. Avignon). Cette lettre encore aussi pauvre que moi, ne te porte point d’argent, mon bon frère ! Je te l’écris… (aut. Douai).