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INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE

334 INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE Paris, 8 octobre. A son frère. Mon ami Félix, et toi comment té portes-tu ? C’est souvent quand je suis un peu malade… (aut. Douai ; fragm. R. II p. 194 ; fragm. Desc. F. ; fragm. Bibl. I p. 366 ; Sainte-Beuve, 70). 29 octobre. A Sainte-Beuve. Je vous envoie ce livre avec un grand serrement de cœur, sans espérer que vous ayez le loisir… (<< Sainte-Beuve inconnu », p. 229 ; Bibl. I p. 340). 12 novembre. A son frère Félix. Je sais, mon bon frère, que tu ne te lasses pas de la triste monotonie de mes lettres… (aut. Douai). Paris, 3 décembre. A Pauline Duchambge. Je ne peux écrire qu’à toi ! Mon cœur plein de fièvre et de larmes… (aut. Douai ; Boy. II p. 283 ; R. II p. 196). Paris, 10 décembre. A Victor Hugo. Monsieur, je sais tout ce que tente votre sollicitude pour nous rendre la vie respirable… Paris, 18 décembre. A son frère. (P. p. 314). Mon ami, les jours vont vite et je ne t’écris pas autant que je veux, par cela… (aut. Douai ; R. II p. 197 ; fragm. Bibl. I p. 334). 24 décembre. A M. Richard. … Et quoique je ne sache de quel côté donner de la tête, je prends sur la nuit pour vous écrire, la nuit de Noël… (Sainte-Beuve, 70 ; Bibl. I p. 299). 30 décembre. A la marquise de Sainte-Luce. Bonne oh, oui, bien bonne et bien chère Madame ! que vous prenez un moyen… (aut. Douai).